JESUS CHRIST AU 21ème SIECLE

Dernier évangile de Jésus, reçu au XXe-XXIe siècles, par divers médiums dans la prière pour l'Amour Divin.

Comment peut-on croire en Dieu et Jésus Christ ?

Tout d’abord, comment croire que "Dieu est amour"? Beaucoup de gens rejettent l’idée de Dieu, car l’on a de cesse de leur répéter que Dieu est amour… alors que ce qu’ils voient autour d’eux, c’est un monde de violence et de laideur. Certains disent : "Si Dieu est amour, comment peut Il laisser faire toutes ces horreurs ?!" Sous-entendu : "c’est bien la preuve que Dieu n’existe pas !" Alors au sujet de l’amour et de l’horreur du monde, laissez-moi vous présenter cet argument (basé sur les messages de Jésus canalisés par James Padgett) :

Pour commencer, l’amour est caractérisé (entre autres choses) par une vibration. Et c’est une vibration, pour ainsi dire (les mots sont inadéquat malheureusement), d’une octave supérieure, d’une fréquence vibratoire plus rapide et subtile, que celle de la peur. Notons au passage, que la haine est un produit de la peur. L’amour n’est pas tant l’opposé de la haine, mais plutôt l’opposé de la peur. L’amour est la plus haute vibration cosmique, et Dieu est de cette plus haute vibration. Dieu est amour, et il n’y a absolument aucune peur, ni haine, ni colère, ni rien de ce genre en Lui. J’ignore si Yahwe était en fait un extra-terrestre comme le suggère Mauro Biglino, mais si Yahwe était effectivement jaloux, plein de colère (et de cruauté) envers ceux qui lui désobéissaient, alors ce n’était pas Dieu, le vrai et unique Dieu. Dieu n’inflige aucune punition, et n’envoie personne en enfer. Alors dans ce cas, qu’en est-il de la souffrance dans notre monde ?

Dieu a créé les âmes à sa ressemblance (mais non de sa substance). Cela donne donc au âmes, entre autres caractéristiques, la capacité d’aimer, de créer, et d’être éternelles. Cependant, les âmes n’ont pas, ou très peu, d’individualité propre. Pour acquérir sa propre individualité, l’âme doit entreprendre un chemin risqué, qui commence par l’incarnation dans la matière d’un corps animal, avec tous ses instincts, mais aussi le libre arbitre. C’est le libre arbitre qui permet de choisir son chemin vers l’individualité, avec les risques que cela implique. Ainsi, l’être humain, qui a oublié ses origines d’avant l’incarnation, et est doté du libre arbitre, devient libre soit de vivre en harmonie avec les lois divines, soit de les enfreindre. L’enfer, dans ce monde et celui d’après, n’est que la création de l’humain, et non du diable (il n’y a pas d’anges déchus) et encore moins de Dieu. L’humain qui n’a pas pu élever ses propres vibrations de la peur à l’amour, et donc a cultivé dans son corps spirituel des vibrations d’égoïsme et de malveillance, se retrouve après sa mort physique, dans un monde de vibrations identiques, parfaitement désagréable, que l’on nomme les enfers. Ce n’est pas Dieu qui l’a jugé et envoyé là. C’est cet humain qui a choisit ce chemin, même s’il (elle) ne s’en rendait probablement pas compte.

L’enfer n’est cependant pas éternel. Dieu aime toutes les âmes, même celles qui se sont égarées au plus profond des enfers. Au passage, j’ai vu un documentaire sur Staline hier soir, un monstre criminel odieux, un copain d’Hitler en somme, et j’ai pensé au lieu dans lequel il devait actuellement hurler de souffrance, depuis quelques décennies déjà, et pour probablement encore plusieurs siècles. Eh bien, Dieu n’est pas "humain," Il est amour. Dieu n’a pas de haine ni colère envers ces deux monstres totalement égarés, tout simplement parce qu’Il EST amour. Et l’Amour Divin, pas l’amour humain. Alors, au cas (je suppose improbable) où Staline prendrait conscience de ses actes, se repentirait, et ensuite demanderait la miséricorde de Dieu, eh bien Dieu lui donnerait son Amour Divin. Bon, à priori, vu l’individu, ce serait très lent, un minuscule goutte à goutte. Enfin, lisez le premier des trois livres des messages de Jésus, ou se trouve un témoignage de Néron, qui valait bien dans l’horreur, les deux cités ci-dessus. Parce que au final, Dieu donne son Amour Divin à toutes les âmes qui en font la demande, et cet Amour Divin les rachète, et les sort (progressivement) des enfers, direction les Cieux Célestes.

Mais peut-être n’y croyez vous pas ? Examinons ci-dessous, le fait de croire ou pas.

Différences entre croire et avoir la foi

Dans notre société occidentale supposément cartésienne, nombre de gens se sont habitués à dire, fier d’eux-mêmes : Moi, je ne crois que ce que je vois. …Sauf que parmi eux, il en existe une majorité qui croient en un virus qu’ils n’ont jamais vu (même s’ils ont vu de très jolies images le représentant, et entendu de bien vilaines histoires à son sujet, et des morts comme s’il en pleuvait alors que personne n’est mort dans leur propre entourage, et en fait c’est peut-être vrai, sauf qu’ils ne l’ont pas vu par eux-mêmes, mais y croient quand même, mais passons, je digresse). Pareil pour le Big-Bang : ils y croient, alors que manifestement ils n’étaient pas là (il y a 14 milliards d’années) pour le voir, mais ont vu nombre d’articles leur disant qu’ils l’avaient vu à leur place, alors même qu’il ne s’agit que d’une théorie (qui n’a aucun pouvoir prédictif au contraire de toutes les bonnes théories), quel que soit au final sa validité.

En fait, ce que ces gens veulent dire le plus souvent, c’est : Je ne crois que ce qui est validé par la science. Sauf que la science n’est pas une entité monolithique avec une existence propre. C’est une somme de connaissances admises à un moment donné, par un certain nombre de scientifiques, mais jamais par tous (même si les médias vous mentaient à ce sujet), et que les avis changent, au gré non seulement de nouvelles découvertes, mais aussi d’intérêts beaucoup plus triviaux que la recherche de la Connaissance en soi (comme par exemple : l’argent, la renommée, la mode, et, devinez quoi… les croyances !). Du coup, bien que l’argument "Je ne crois que ce qui est prouvé scientifiquement" soit plutôt raisonnable, il est malheureusement fallacieux. Ceux qui se réclament de cet argument pensent être sincères (et très intelligents), mais ils s’abusent eux-mêmes. Car en réalité, la croyance est une attitude cognitive résultant seulement en partie, de l’observation des faits, en tant que ce que "je vois" ou "les scientifiques ont déterminé". Entrent aussi dans la croyance : l’éducation, l’habitude, les histoires et mensonges auxquels la personne s’identifie (souvent inconsciemment), ainsi que le consensus populaire. Par conséquent, l’argument "scientifique" n’intéresse la plupart des occidentaux que comme justification des croyances qu’ils ont déjà, et certainement pas pour en changer. Raison pour laquelle la "science" est rarement examinée pour ce qu’elle vaut, et qu’elle est vite discréditée et oubliée si elle prétend invalider une croyance à laquelle une personne est particulièrement attachée.

Ainsi, et malheureusement, la grande preuve (scientifique !) que Jésus Christ a bien existé, et était bien un grand maître spirituel, aura peu de chances d’affecter tous ceux, nombreux, qui ont choisi de croire (ou plus probablement : ont été conditionnés à croire, et aussi conditionnés à se croire très intelligent d’entretenir ces croyances, avec le bénéfice pathétique de désigner ceux qui croient autrement d’être des imbéciles, et donc de leur être supérieur) que Jésus et Dieu ne sont que des fables.

Parlons maintenant de la Foi, avant de passer à la grande preuve scientifique (si ! si !) :

La foi n’est pas la croyance, bien que les deux doivent être identiques dans leur objet, pour éviter la dissonance cognitive. La croyance vient de l’intellect, de la personnalité confrontée aux fantaisies et aux réalités quotidiennes, enfin bref relisez ci-dessus. La foi vient d’ailleurs : elle vient de l’âme qui sait, et qui trouve le moyen de se manifester dans la conscience de la personne. Passons à une parabole de mon invention :

Imaginez un aveugle de naissance qui vient vous affirmer que les couleurs n’existent pas. Vous pouvez toujours essayer de les lui énumérer (ou de lui expliquer la science des longueurs d’ondes lumineuses), mais il refuse de vous croire, car c’est une de ces personnes qui… ne croit que ce qu’elle voit. Alors, vous faîtes quoi là ? Vous lui prêtez vos yeux ? Eh bien, la foi ce sont les yeux de l’âme. Ayant été créée par Dieu, l’âme connaît Dieu. Mais le problème est que la personnalité de l’humain (et ses croyances !), dans ce monde de peur et d’instincts primaires qui accaparent notre conscience, étouffe le plus souvent le développement et l’expression de l’âme dans l’individu. Mais celui (ou celle) qui avance sur le chemin spirituel, par la méditation et la prière, mais aussi la bienveillance, c’est à dire en élevant progressivement ses vibrations vers l’amour, donc en direction de Dieu, il (ou elle) permet à son âme de grandir, et plus facilement se manifester à sa conscience. Et de ce fait, la foi apparaît et augmente, car celui-ci (ou celle-ci) commence à entendre son âme, qui elle, sait que Dieu EST. Et puis quand l’âme aura suffisamment acquis de la nature du Christ, et se trouvera dans les Cieux Célestes avec Dieu (et Jésus Christ), il ne s’agira plus de "foi," car l’âme sera effectivement en présence de Dieu.

La preuve de Jésus Christ par le Saint Suaire

La preuve scientifique que le Christ a bien existé, et qu'à tout le moins c'était un grand maître spirituel, est tout simplement le Saint Suaire ! Alors comme je l'ai dit au-dessus, cette preuve scientifique ne changera pas les croyances de celui qui a été conditionné en incrédule (ou est délibérément devenu incrédule, car il pense que ça le rend plus intelligent, donc plus important, du fait d'autres croyances qu'on lui a inculqué, sans qu'il s'en rende compte). Mais si vous croyez au Christ et avez certes la foi, mais pas complètement tout de même, la preuve par le Saint Suaire devrait à présent vous laisser dormir tranquille ; vous n'aurez plus besoin de vous torturer les méninges parce qu'un livre vous a démontré que Jésus serait un personnage fictif basé sur un empereur Romain. Et apprenez aussi dès maintenant que le Saint Suaire est AUTHENTIQUE (n'en déplaise aux pseudo-scientistes obscurantistes qui continuent à déclarer que c'est un faux du XIIème-XIVème siècle).

Mais avant d'aborder le sujet fascinant du Saint Suaire de Turin, laissez moi faire un détour par le Tibet. Je vous ai déjà dit qu'au début de mon cheminement, pour moi, l'objet de la spiritualité bien comprise, c’était de pratiquer diverses techniques de yoga et méditation pour un jour atteindre un état supérieur libérant du Samsara. Et j'ai aussi dit que, puisque le Christianisme ne proposait rien de tout cela, seulement des préceptes de morale ennuyeuse qui ne me mèneraient nul part, je me suis avidement tourné vers l’Orient lointain, vers les Bouddhistes et les Saddhus. Et j’ai donc découvert que dans le Bouddhisme Tibétain, on raconte de fascinantes histoires selon lesquelles des maîtres spirituels extrêmement avancés dans la pratique mystique, lorsqu'ils meurent, leur corps disparaît dans une explosion de lumière et d'arcs-en-ciel (et rien n'ai laissé derrière, sauf peut-être quelques ongles et cheveux).

Le corps d’arc-en-ciel (Tibétain : jalus : ja’ lus) est un concept du bouddhisme selon lequel la pratique de méditations spéciales réservées à des méditants accomplis, au moment de la mort, transformerait le corps physique en lumière et le ferait disparaître.

Le corps d’arc-en-ciel, appelé aussi corps de lumière serait le résultat de la pratique de Longdé (tib. : Klong-sde, skt. : Abhyantaravarga) et thögal (pratique faisant partie du mengakdé, Tib : Man-ngag-sde, Sk : Upadesavarga). Longdé et mengakdé étant respectivement la deuxième et la troisième des trois séries (tib. : sde-gsum) du Dzogchen.

Selon cette croyance, les pratiquants du Dzogchen manifesteraient le « corps d’arc-en-ciel » quand leurs divers éléments se résorbent dans l’essence lumineuse qui les a créés et que le corps physique se fond en lumière (ou pure énergie lumineuse) avant de disparaître complètement aux yeux des vivants. Ce processus est censé générer une lumière vive et des arc en ciel d’où son nom. Il s’agirait d’une transmutation durant laquelle le corps physique deviendrait de plus en plus subtil. La tradition considère que Vairotsana, Yeshe Tsogval, Rechungpa et Milarépa ont réalisé le corps d’arc-en-ciel, ainsi que plus récemment Sönam Namgval au Tibet oriental en 1952 et Nvala Rinpoche en 1978.

Site : Conscience Divine - http://www.colinearcenciel.com/

Mais voilà : tout ça c’est bien joli, mais sans preuve tangibles, ici en Occident éduqué à la science, qui pourrait bien croire de telle fariboles ? Eh bien, après que plusieurs scientifiques de divers domaines, aient passé plus de 500.000 heures à étudier et analyser le Saint Suaire, la preuve est faîte que Jésus Christ lui-même est passé par ce processus, communément appelé La Résurrection !

Cependant, comme vous le verrez sur une autre page, certain groupes plus ou moins occultes n’ont de cesse que d’essayer de salir et avilir l’image du Christ. Ainsi, à la fin des années 1980, en Angleterre, un groupe de personnes riches désirant rester anonymes, a constitué un fond de 1 million de livres sterling pour financer une étude scientifique devant prouver que le Saint Suaire est un faux. Il ne souhaitaient pas étudier le suaire pour connaître la vérité, mais prouver que c’est un faux. (Ca me semble tellement risible et pathétique de donner autant d’argent à un objectif aussi futile qu’inutile.) Et donc, en effectuant une datation au carbone 14, ces gens ont déterminé que le suaire avait 600-800 d’âge au lieu de 2000 ans. Ils ont donc déclaré que c’était un faux, ce que tous les idiots sincères, ainsi que les menteurs aux ordres, ont colporté en criant victoire (dans le genre : "Victoire ! La ‘science’ triomphe ! Nous sommes plus intelligent que ces imbéciles de croyants !").

Alors, tout d’abord les 500.000 heures de travail ont prouvé que le Saint Suaire est AUTHENTIQUE d’il y a 2000 ans, à tel point que le British Muséum a du retirer d’une de ses brochures officielles l’affirmation que c’était un faux. Mais mieux : le biophysicien Jean-Baptiste Rinaudo (voir le lien vers une vidéo youtube plus bas) a découvert que l’image sur le suaire avait été faite par un rayonnement de neutrons. Il ne comprenais pas qu’est-ce qui avait pu produire cela, mais il a fait des expériences pour le reproduire sur des échantillon d’un tissu très semblable, en utilisant un accélérateur de particules. Et c’est comme cela qu’il a découvert que ce rayonnement altère la matière, de telle manière que cela affecte ce qui permet la datation au carbone 14. Et donc, la datation au carbone 14 est faussée de telle sorte que le tissu semble moins ancien qu’il ne l’est en réalité.

Continuons : l’image en négatif sur le Saint Suaire ne résulte pas des fluides du cadavre de Jésus qui auraient imprimé le tissu. En fait, le cadavre a disparu avant de commencer à pourrir. Aucun faussaire n’aurait pu peindre cette image, qui n’es pas peinte de toutes façons. Et à ce jour (malgré la science et la technologie disponible), il est impossible de refaire une telle impression. Cette image a été faîte par un rayonnement de neutrons. Les scientifiques s’arrêtent à la constatation de ces faits. Ils ne hasardent pas d’explications, ils n’en ont aucune. Mais moi je n’hésite pas à croire en celle-ci : c’était bien Jésus, car seul un grand maître spirituel empli de la substance de Dieu, en l’occurrence la nature du Christ, a pu ainsi juste après sa mort, transformer le corps physique en lumière et le faire disparaître. C’est à mon sens la seule explication. Et notez que je ne suis pas le seul à penser ceci. Sur la page des suggestions de lecture, le livre Le christianisme secret, parle exactement de cela.

Pour finir : voici une série de vidéos youtube pour en savoir plus :

LINCEUL DE TURIN / 3 spécialistes témoignent
1) Antoine Legrand, historien
2) Arnaud Aaron Upensky
3) Jean-Baptiste Rinaudo, biophysicien