Comment peut-on croire en Dieu et Jésus Christ ?
Tout d’abord, comment croire que "Dieu est amour"? Beaucoup de gens rejettent l’idée de Dieu, car l’on a de cesse de leur répéter que Dieu est amour… alors que ce qu’ils voient autour d’eux, c’est un monde de violence et de laideur. Certains disent : "Si Dieu est amour, comment peut Il laisser faire toutes ces horreurs ?!" Sous-entendu : "c’est bien la preuve que Dieu n’existe pas !" Alors au sujet de l’amour et de l’horreur du monde, laissez-moi vous présenter cet argument (basé sur les messages de Jésus canalisés par James Padgett) :
Pour commencer, l’amour est caractérisé (entre autres choses) par une vibration. Et c’est une vibration, pour ainsi dire (les mots sont inadéquat malheureusement), d’une octave supérieure, d’une fréquence vibratoire plus rapide et subtile, que celle de la peur. Notons au passage, que la haine est un produit de la peur. L’amour n’est pas tant l’opposé de la haine, mais plutôt l’opposé de la peur. L’amour est la plus haute vibration cosmique, et Dieu est de cette plus haute vibration. Dieu est amour, et il n’y a absolument aucune peur, ni haine, ni colère, ni rien de ce genre en Lui. J’ignore si Yahwe était en fait un extra-terrestre comme le suggère Mauro Biglino, mais si Yahwe était effectivement jaloux, plein de colère (et de cruauté) envers ceux qui lui désobéissaient, alors ce n’était pas Dieu, le vrai et unique Dieu. Dieu n’inflige aucune punition, et n’envoie personne en enfer. Alors dans ce cas, qu’en est-il de la souffrance dans notre monde ?
Dieu a créé les âmes à sa ressemblance (mais non de sa substance). Cela donne donc au âmes, entre autres caractéristiques, la capacité d’aimer, de créer, et d’être éternelles. Cependant, les âmes n’ont pas, ou très peu, d’individualité propre. Pour acquérir sa propre individualité, l’âme doit entreprendre un chemin risqué, qui commence par l’incarnation dans la matière d’un corps animal, avec tous ses instincts, mais aussi le libre arbitre. C’est le libre arbitre qui permet de choisir son chemin vers l’individualité, avec les risques que cela implique. Ainsi, l’être humain, qui a oublié ses origines d’avant l’incarnation, et est doté du libre arbitre, devient libre soit de vivre en harmonie avec les lois divines, soit de les enfreindre. L’enfer, dans ce monde et celui d’après, n’est que la création de l’humain, et non du diable (il n’y a pas d’anges déchus) et encore moins de Dieu. L’humain qui n’a pas pu élever ses propres vibrations de la peur à l’amour, et donc a cultivé dans son corps spirituel des vibrations d’égoïsme et de malveillance, se retrouve après sa mort physique, dans un monde de vibrations identiques, parfaitement désagréable, que l’on nomme les enfers. Ce n’est pas Dieu qui l’a jugé et envoyé là. C’est cet humain qui a choisit ce chemin, même s’il (elle) ne s’en rendait probablement pas compte.
L’enfer n’est cependant pas éternel. Dieu aime toutes les âmes, même celles qui se sont égarées au plus profond des enfers. Au passage, j’ai vu un documentaire sur Staline hier soir, un monstre criminel odieux, un copain d’Hitler en somme, et j’ai pensé au lieu dans lequel il devait actuellement hurler de souffrance, depuis quelques décennies déjà, et pour probablement encore plusieurs siècles. Eh bien, Dieu n’est pas "humain," Il est amour. Dieu n’a pas de haine ni colère envers ces deux monstres totalement égarés, tout simplement parce qu’Il EST amour. Et l’Amour Divin, pas l’amour humain. Alors, au cas (je suppose improbable) où Staline prendrait conscience de ses actes, se repentirait, et ensuite demanderait la miséricorde de Dieu, eh bien Dieu lui donnerait son Amour Divin. Bon, à priori, vu l’individu, ce serait très lent, un minuscule goutte à goutte. Enfin, lisez le premier des trois livres des messages de Jésus, ou se trouve un témoignage de Néron, qui valait bien dans l’horreur, les deux cités ci-dessus. Parce que au final, Dieu donne son Amour Divin à toutes les âmes qui en font la demande, et cet Amour Divin les rachète, et les sort (progressivement) des enfers, direction les Cieux Célestes.
Mais peut-être n’y croyez vous pas ? Examinons ci-dessous, le fait de croire ou pas.